Il y deux manières de l'évaluer. Soit on divise le chiffre d'affaires par le nombre d'acheteurs, ce qui était la technique d'Hersant. Dans ce cas, on valorise l'acheteur autour de 500 euros. Soit on prend une année de chiffre d'affaires, en considérant que l'investisseur doit récupérer son capital après dix ans." Ce qui valoriserait Le Parisien entre 150 millions et 200 millions d'euros. Mais cela suppose que les journaux soient rentables et peu endettés. "Sinon, les investisseurs achètent de l'influence ou du prestige, hors de toute logique économique".
Patrick Eveno, historiador de la prensa, a Le Monde.
No se me amontonen: claro que hay más de dos. Pista: @rsalaverria
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